Les Grecs et les Romains, les riches seigneurs, les stars de cinéma, les artistes et des milliers de touristes... ils étaient seulement de passage et sont pourtant restés à Nice et sur la Côte d'Azur. Certains pendant quelques semaines, d'autres pendant des mois et des années. Ils étaient trop captivés par la lumière, enchantés par les parfums et charmés par le goût des olives, du vin et des légumes succulents. En outre, un nouveau Nice voit le jour : une métropole méditerranéenne insolente avec une vie nocturne animée, de nouveaux hôtels avant-gardistes et des galeries d'art audacieuses. Le tout avec la possibilité de se baigner dans une mer turquoise !

Bâle est une ville captivante pleine de contrastes. Je pense aux chefs-d’œuvre architecturaux du présent, qui se démarquent de la vieille ville parfaitement conservée. Ou à la façon dont l’ambiance cosmopolite se marie à merveille avec les traditions vivantes. Et même s’il y a un monde entre l’art moderne classique et le street art, les deux courants artistiques sont bien représentés à Bâle. Bâle est une ville qui bouge et qui se renouvelle sans cesse. Chaque fois que vous venez à Bâle, vous découvrirez quelque chose de nouveau.

Belgrade, métropole européenne nichée au cœur des Balkans, offre un mélange unique d'influences orientales et occidentales. Surnommée le « Berlin des Balkans », cette ville possède l'énergie vibrante de New York et s'impose comme une capitale urbaine branchée. Belgrade, avec son ambiance dynamique et accueillante, est en passe de devenir l'une des destinations les plus prometteuses d'Europe.

Les rues pavées de granit étroites et souvent escarpées du quartier de Castello à Cagliari rappellent une époque révolue où la ville était dominée par les Pisans, puis par les Aragonais. Construits en calcaire blanc, les murs et les tours de la vieille ville scintillent au soleil et offrent un spectacle magnifique, surtout si vous avez de la chance et que vous rejoignez la ville par la mer, comme l'a fait le romancier anglais D.H. Lawrence en 1921 lorsqu'il a décrit la vieille ville comme une « Jérusalem sans arbres ».